Les accusations de corruption portées par le président du conseil d’administration de la Banque Nationale de Crédit (BNC) contre des conseillers présidents continuent de faire des vagues. Le parti politique Alliance pour une Société sans Exclusion (ASE) rappelle que « La femme de César doit être au-dessus de tout soupçon. » Insistant sur la nécessité d’éclaircir les allégations contre les trois membres du Conseil Présidentiel de Transition (CPT), ASE met en avant l'importance de la transparence pour maintenir la crédibilité des institutions.
Les conseillers présidents Louis Gérald Gilles, Emmanuel Vertillaire, et Smith Augustin, au cœur du scandale, fragilisent le Conseil Présidentiel de Transition. Le parti ASE, dirigé par l’ex-député Cholzer Chancy, récemment en détention pour une affaire de détournement, s'inquiète des implications futures. ASE se demande quelles mesures seront prises pour éviter une période de transition transformée en période de transaction, appelant à des actions concrètes pour regagner la confiance du peuple et moraliser la vie politique.
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